Donc à la demande de Tiziana
Prendre le premier livre qui vous tombe sous la main...
ouvrir la page 123 (En fait j'ai pris la 85 beaucoup plus drôle)...
prendre la phrase n°5 et les trois phrases suivantes... recopier les 4 phrases... et les mettre là. Taguer 5 personnes...
" Depuis pas loin d'un siècle qu'une baderne autrichienne obsédée s'est mis en tête qu'Oedipe voulait sauter sa mère, la psychanalyse a connu sous nos climats le même engouement que les bains de mer ou le paris mutuel urbain.
On a beau savoir pertinemment que la méthode d'investigation psychomerdique elucubrée par le pauvre Sigmund n'est pas plus une science exacte que la méthode du professeur Comédon pour perdre trente kilos par semaine tout en mangeant du cassoulet, ça ne fait rien ; la psychanalyse, c'est comme la gauche ou la jupe à mi-cuisse, c'est ce qui se fait maintenant chez les gens de goût."

7 commentaires:
ah bah di donc ! justement ce matin, je me poilais en écoutant des extraits de monsieur Cyclopède alias : lui. Un génie ce mec...
bisous, mon ch'val.
Bonne pioche ! lol
Suis fan de ce mec , quel vide depuis qu'il nous a quitté pour faire marrer les autres voisins d'en haut !
Je t'embrasse voisine et merci pour mes 44 ;-) Je vois la vie en rose maintenant..
Ah, Desproges ... Le premier que j'ai lu était le "Manuel de savoir vivre à l'usage des rustres et des malpolis".
Merci de ta visite chez moi.
j'adore desproges !
son humour caustique est inégalable..
j'ai lu "la minute de cyclopède" il y a quelques année, que du bonheur.
Qu'une envie...le lire. Merci Chère Indigo d'avoir joué le jeu. Bon lundi...
un gars super même si disparu :)
bizou ma belle
à toutes et tous : Je constate avec plaisir que nous partageons certaines valeurs..:d)
et pour le plaisir..
"Ça y est. Ça recommence. Y'a ma libido qui me chatouille. J’arrive plus à bosser. Coucher, baiser, sauter, y a plus que ça qui compte, je n’arrête pas.
Samedi, j’étais tellement obsédé que j’ai sauté deux repas, j’ai baisé le fisc, et j’ai même couché avec allégresse quelques alexandrins sublimes sur le déclin de la rose."
Chroniques de la haine ordinaire
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